Cho Kurogawa
Messages : 3
Date d'inscription : 14/03/2015
  |  Sujet: Kurogawa Cho ~ Little, little Butterfly...  Sam 14 Mar - 22:33 | | Kurogawa Cho
Informations |
|---|
☆ Nom: Kurogawa
☆ Prénom(s) : Cho
☆ Sexe : Féminin
☆ Age : 14 ans
☆ Date de naissance : 18 avril
☆ Orientation : Bisexuelle
☆ Classe/travail : Première Année
☆ En tant qu'Idol :
Compétences :
☆ La force physique 2/20
☆ La puissance vocale 10/20
☆ La coordination des deux premiers critères 2/20
☆ L'apparence 6/20
☆ Niveau : Débutante / Novice / Avancée |
☆ Je suis :
Gentille,
Adorable.
Très Timide,
Maladroite.
☆ Source de l'avatar :
Vocaloid / Kagamine Rin | |
Caractère
Qu'est-ce qu'il peut bien se passer dans ta petite tête ? C'est là toute la question. En fait, tu as un comportement différent en fonction de tes affinités avec les personnes qui t'entourent...
Les inconnus, tu les amadoues avec ta timidité et ta naïveté aveugle. Ta maladresse, qui ne survient évidemment que lorsque tu es mal à l'aise, ajoute encore à ce charme adorable. Tu es un peu pleurnicharde, et avec la bouille que tu as, impossible de résister...
Et tel est le problème : souvent, tes rivales pensent que c'est une technique pour grimper les échelons. Alors que c'est juste dans ton caractère... Tu es le stéréotype de la petite princesse fragile, avec ces inconnus... Ce qui représente une grosse partie des gens, tout de même.
Tes amies, avec un "e", savent que tu es extrêmement chaleureuse. Arborant toujours un grand sourire, chargé d'une candeur aveuglante. Et tu es douée d'une loyauté et d'une générosité sans faille ! Toujours en train de penser aux autres plus qu'à toi... Ce qui te cause de gros soucis. Tu n'as pas beaucoup de vraies amies. Elles sont souvent amies avec toi par intérêts. Tu ne t'en rends bien évidemment pas compte, tu es noyée dans la naïveté et l'innocence. Quand tu fais confiance à quelqu'un, toi, c'est pour toujours. Tu ne peux pas penser qu'une personne gentille avec toi ait des arrières pensés. Des fois, quand on t'en demande trop, et que certaines personnes te remettent ton passé entre les dents, tu piques des grosses crises de colères. Et ça, tes amies ne te le pardonnent jamais. Elles attendent toujours que tu viennes t'excuser à genoux.
Et toi, tu le fais, parce que tu ne supportes pas d'être laissée toute seule. C'est ta plus grande peur.
Malgré tout, il t'est possible d'être une véritable peste. Que dis-je, peste ! Non, un monstre d'orgueil et d'égoïsme. Certaines personnes, comme tu les appelle, s'acharnent à te mener la vie dure. Mais tu n'es pas prête de te laisser marcher sur les pieds par ces "ennemis" ! Un laser dédaigneux dans les yeux, un panier à vipères sur la langue, tu es prête à cracher ton venin pour n'importe quelle occasion. Et si au début tu avais du mal avec les sarcasmes, tu es maintenant devenue experte en la matière !
Tu ne cherches pas à t'attirer des ennemis. Ces personnes te détestent parce qu'elles sont jalouses, c'est ce que tu dis. Ou alors parce qu'elles ont trahi ta confiance, et ça, tu ne le pardonnes pas. Jamais.
Même si tu as un joli succès auprès des garçons, tu n'es jamais tombée amoureuse. Très romantique, tu attends l'amour avec un soupçon d'impatience, tout de même. Il t'arrive de regarder les couples avec un air envieux dédaigneux, te demandant si tu étais stupide ou quelque chose pour que les garçons ne s'intéressent à toi que pour l'amour de tes yeux bleus, alors que ces filles-là sont moches comme des thons mais sont sûrement intelligentes du dedans. Ce sont tes termes, petite princesse... Ta jalousie amoureuse te rend méchante et prétentieuse, on dirait.
Tu es un peu un paradoxe vivant. Tu dis être terrifiée par les autres, mais en même temps, tu ne supportes pas d'être toute seule. Tu voudrais probablement qu'on s'occupe de toi pour ta timidité, qu'on fasse attention à toi comme à une petite poupée de porcelaine parmi de solides poupées en plastique.
Parmi tes peurs, je sais que tu as plusieurs phobies étranges. Comme la phobie des fonds marins -une rivière ne te terrifierait pas, mais le grand bleu d'un océan t'angoisse au plus haut point- ou encore celle des vieux bâtiments délavés, désaffectés ou non.
Tu adores les jeux vidéos, en dehors du chant et de la danse. Tu aimes aussi énormément les sucreries, un véritable miracle que tu ne sois pas obèse et sans dents, tellement tu en manges.
Bon, je crois que je vais m'arrêter là. Tu me dévisages avec deux grands yeux pleins de reproches, comme si tu n'étais pas contente de toutes ces vérités révélées.
Physique
"Nyaaaah..."
Tu bailles, et tu t'étires, ce samedi matin. Te frottant les yeux, tu vas à tâtons dans la salle de bains. Oups, c'est Tchernobyl, tes cheveux... Tu prends une brosse et tu commences péniblement à te démêler les cheveux. Bien qu'ils soient coupés au carré, c'est toujours difficile. Ta mère, une suédoise, t'as donné ces cheveux blonds tout fins et fragiles. Et comme tu en as une sacrée épaisseur... Ça fait aussi un sacré paquet de nœuds ! Bon. Première bataille gagnée. Ils sont bien ordonnés, maintenant, tes cheveux. Tu débarrasses tes yeux de la frange trop longue qui les cache en la rabattant sur le côté avec deux petites barrettes. Deuxième étape... Arranger cette tête endormie ! Ce visage livide, ces yeux bouffis, rouges encore parce que tu les a frottés, des petites lèvres blanches et sèches... Tu passes ta langue sur ces dernières, et elles reprennent vie. Tu prends un gant de toilette, tu l'humidifie et tu le passes sur ta figure. Ça va déjà mieux... Au moins, on peut voir entièrement tes deux grands yeux bleus, encore un cadeau de ta mère. Tu étouffes un bâillement. Tu t'armes maintenant de ta brosse à dents... Passons ce passage. Je sais que tu ne voudrais pas que j'en parle. C'est bon, maintenant tu es entièrement réveillée ! Tu fais encore quelques grimaces dans la glace, avant de partir t'habiller. Aujourd'hui... Ce sera le short noir, celui qui a une ceinture jaune. Une chemise d'écolière blanche, sans manches, avec le ruban jaune autour du cou, sous le col. Attendez, il manque quelque chose... Ça y est, tu l'as trouvé ! Ce petit serre-tête, avec le nœud blanc ! Tu le places bien sur ta tête, en faisant bien attention à ne pas coincer de cheveux dessous, pour qu'ils reviennent cacher les extrémités. Un retour dans la salle de bain pour les dernières retouches. Rah, le ruban du chemisier est de travers... Bon, tout est en ordre niveau coiffure, vêtements ! Reste le maquillage !
Comme d'habitude, tu restes très sobre. Une légère ombre à paupières orangée, pour faire ressortir tes yeux. Un fard à joues rose pâle, pour illuminer tes joues. Un coup de gloss rouge-rose, pour faire briller tes lèvres et les colorer un peu, sans que cela se voie trop. Tu affiches maintenant un très large sourire. Tu es prête, ça y est ! Tu descends en courant les escaliers, et t'assoies à table pour petit déjeuner.
Histoire
Sa mère avait claqué la porte, laissant la petite fille de quelques mois dans les bras de son père. Un pauvre vendeur d'instruments traditionnels, seul dans un village du Japon. On l'a surnommée Kaguya, dans ce village. Les cheveux blonds et les yeux bleus de sa mère, une suédoise que personne n'avait jamais connu dans le village, avaient inspiré des rumeurs. Physiquement, elle lui ressemblait comme une jumelle, disait son père. Mais elle est Cho.
Elle a grandit toute seule dans sa maison. Son père s'efforçait de tout faire pour elle. Gentil, et attentionné, elle lui menait une vie relativement dure, à regarder la télé toute la journée, sans aider.
L'absence de sa mère ne semblait pas la déranger. La télévision la remplaçait amplement. Et son père qui grognait, comme quoi elle ne fichait rien, qu'elle n'allait certainement pas gagner sa vie grâce à la télé... Et pourquoi pas, d'abord ? Des tas de gens gagnent leur vie avec la télé, suffisait de regarder les émissions... Toutes ces émissions... Ces émissions... Oh, Cho à eut une idée ! Pourquoi ne pas essayer de faire carrière dans la télé ? Si elle réussissait, elle gagnerait toujours plus qu'un simple vendeur, et ça clouerait le bec à son fichu père, tiens. Et surtout... La gloire ! La belle gloire dorée, dorée comme toutes les pièces qu'elle allait gagner ! Et elle s'enivrait déjà de cette gloire et de cet or, Cho, vautrée sur un coussin devant sa télé.
Monsieur Kurogawa poussa un grand soupire et s'en alla dans la pièce d'à côté préparer des ramens instantanés pour sa princesse.
"Dis, papa, tu penses que je pourrais réussir à la télé ?
- Bien sûr, pourquoi pas.
- Mais il me faudrait un talent... Et j'en ai pas...
- Cherche, tu vas trouver."
Alors Cho s'est entraînée dans sa chambre. Des dessins ? Bof, elle était vraiment pas douée... Pis les dessins, ça passe mal à la télé ! Allez, autre chose ! La danse. Ouh là là, non non non ! Trop dur, trop épuisant... Ben voilà, Cho ! A faire la carpette devant la télé, les muscles deviennent tout mous ! Passons à autre chose. Cho rejeta toutes les activités sportives. Elle essaya le chant, pas convaincue que ça marcherait. Elle eut la révélation de sa vie, du moins en eut-elle l'impression. Que c'était agréable, de chanter ! Son père, qui avait regardé tout ses essais, lui assura qu'elle avait une voix magnifique, malgré un manque d'entraînement qui se trahissait par quelques fausses notes et un essoufflement rapide. Rien d'insoluble, donc ! Son père lui proposa d'apprendre à jouer d'un instrument, pour s'accompagner. Il lui proposa un joli petit Koto en bois, que la jeune demoiselle adopta tout de suite.
Après des séances d'entraînement acharné (enfin, plus ou moins), Cho participa à son premier concours de chant amateur. Le trac était à son comble. La jeune fille s'avança sur la scène, en tremblant. Armée seulement de son courage et de son petit koto. La décision des juges fut pourtant sans appel. La petite blonde fut refusée d'office. Manque d'entraînement, manque de technique, manque de confiance. Et la fille du vendeur d'instruments de musique retourna dans son arrière-boutique, devant sa télé. Pourquoi ? Pourquoi, pourquoi ? Elle trouvait cela injuste ! Mais bon, il était vrai qu'elle n'avait aucune expérience en musique ni en chant professionnel, elle n'avait jamais reçut de cours...
Des cours... Voilà ce qui lui manquait, à notre Cho ! Des cours ! Elle se rendit vite, vite, vite dans le cybercafé le plus proche (celui de la ville voisine, à un quart d'heure de bus), et elle fit des recherches sur toutes les écoles d'idoles du Japon. Oui, tant pis si elle devait aller loin ! Elle voulait être une idole. Rah... Il n'y avait que des clubs d'idoles, pour la plupart...
Oh, attendez. Otonokizaka... C'était une école d'idole, une vraie ! Elle imprima tout les formulaires, tracts et autres flyers. 2600 yens de papier (Environ 20 euros) ! Elle jubilait, sur le chemin du retour.
Une fois chez elle, elle exposa le fruit de ses recherches à son père. Après une discussion argumentée mouvementée, monsieur Kurogawa céda enfin au caprice de sa fille, et remplit avec elle tout les papiers d'inscription. Et ainsi le petit papillon s'envola vers un nouveau futur, à l'académie Otonokizaka.
| Derrière l'écran |
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☆ Es-tu un Double Compte ? Non non !
☆ Comment as-tu connu le forum ? J'ai eut l'honneur de recevoir le lien du forum de la part de la Grande Fondatrice !
☆ Comment l'améliorer : Rien du tout, il est vraiment magnifique *-*
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